Atar Nouakchott
Vendredi 9 février
Du campement kasem nous allons à l’oasis de Thergit, mais le Sprinter en à décidé autrement, il peine à monter la moindre côte. Le gasoil souffré Mauritanien, il n’aime pas.
Nous avançons en mode dégradé, et sans aucune puissance, rouler dans le sable est impossible.
Heureusement, les paysages sont toujours aussi beaux.
Pour réparer, c’est Nouakchott la capitale notre prochain arrêt, en espérant trouver une concession Mercedes
Arrivée dimanche après-midi près de la plage, et du marché aux poissons.
A marée haute, arrivent des centaines de barques multicolores de pécheurs.
Nous dormons sur place
Le vent de sable se prépare.
Plus de gasoil, plus de batterie et la mer monte! il la sorte à temps.
Les encombrements du centre ancien de Nouakchott.
Nouakchott est le dernier espoir de rouler, pour les Mercedes en fin de vies.
Nous sommes confiants, la concession Mercedes que l’on nous a donné comme hors de prix, possède la fameuse valise de dépannage.
L’accueil est sympathique, en attendant l’arrivée du chef d’atelier, avec Gilles nous faisons un tour dans le garage, et là nous sommes moins rassurés.
Que des vielles voitures en réparation. Les quelques récentes sont couvertes de poussière en attente de pièces détachées.
la concession qui n’a pas eu de visite de la maison maire depuis les année 90 n’est pas riche, nous devons prêter l’outillage de base. Après deux heures de travail, le technicien valise abandonne (trop compliqué)
Nous voila bien avancé !
« Vous pouvez continuer ! vous ne risquez rien ! ».
C’est pas mon avis, nous remontons donc doucement sur la frontière, sous un vent de sable soutenu.
Cela fait deux années de suite que nous devons renoncer, décidément la Mauritanie ne veut pas de nous.
Retour vers le Maroc
La suite lors d'un prochain épisode,