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Voyager avec  Jean-Louis et Clairette
14 avril 2016

Samandaj - Shiraz

 

 

Merci a Mohammad Javad Vaziri tabar, pour son aide. 

1 b Samandaj

 

 

Café wifi débit très suffisant pour les emails : N 35° 18,3765     E 46° 59,9635

1 a Samandaj cafe wifi

 

Sur la route.

9 g sur la route

 

9 d sur la route

 

Depuis la frontière, en entrant, et sortant des villes et Villages, sont érigés de grands panneaux des portraits des jeunes, morts pendant la guerre Iran-Irak. L’équivalent de nos monuments au mort. C’est émouvant de découvrir les visages des victimes, dont beaucoup sont très jeunes.

 

9 b sur la route 

 

Dimanche 10 Avril

 Kermanshah, Tagh-e-Bostan

 Bas relief sculpté à même la roche

12 b Tagh e Bostan

12 a Tagh e Bostan

 

Nous rencontrons Jacques et Sylvie du CCRSM et passons un moment sympathique à échanger nos impressions. 

12 g Tagh e Bostan

12 Tagh-e- Bostan 

 

 Lundi 11 avril 

Le proprio à de l’humour à voir  l’inscription en haut à gauche du pare-brise .  

A part quelques exceptions, la marque Mercedes-Benz n’est pas présente, seuls des véhicules assez anciens circulent. Le sprinter est inexistant, il vaut mieux éviter les pannes.

13 a Khorramabad

 

La circulation dans les villes est très lente. Beaucoup de taxis en maraude, avancent au pas.

Existe-t-il en Iran un code de la route ?  On peu en douter, c’est le royaume de l’anarchie routière..Après quelques jours, on s’habitue, voir même on fait pareil.

13 a1 khorramabad

 

Peugeot doit avoir une usine de fabrication, car l’un des véhicules le plus présent est la 406.

A deux reprises, nous avons croisé des chargements de véhicules neufs.

Un autre modèle, carrossé sous de multiples variantes, est un pickup  (bleue, couleur unique) de fabrication Chinoise. Au dire d’une rencontre « increvable ».

13 a2 sur la route

 

Khorramabad

 Nous sommes en bivouac pour cette nuit, et délogé par Drikvandy, il ne nous trouve pas en sécurité, et veut nous amener sur le parking du castel, mais le gardien ne veut pas de nous… Drikvandy nous amène alors chez lui, et nous invite à déguster des brochettes. Son épouse qui restera un moment avec nous, mangera quand même à part. Il installera pour nous, une table et des chaises.  Moins traditionnel mais plus confortable à mon goût, que l’assise en tailleur sur les tapis.

 

13 b Khorramabad

 

  Chogha- Zanbil :

 Monticule de terre ceinturé par des murs de briques. D’après le petit futé qui ne brille pas pour ses informations, ce monument avait en son temps, le meme but que la tour de BAbel. s approcher des Dieux

 Bien que classé par l’UNESCO, pour notre part, il nous a laissé de marbre.  Il me semble que seul un érudit passionné d’histoire, peut s’émouvoir devant.

 

17 a chogha- Zanbil

17 b Chogha- Zanbil

 

Nous sommes depuis notre entrée en Iran entre 1800 et 2500 m d’altitude avec une température comprise entre 3 et 18 degrés. Aujourd’hui en sortie du massif montagneux, la température oscille entre 22 et 30 degrés. C’est très agréable le jour, beaucoup moins la nuit. 

Visite dans la ville de Shusht du tombeau de Daniel, prophète aussi dans l’islam.

Sorti vivant de la fosse aux lions, où il avait été jeté par un roi Perse.

18 Shusht

 

Pour entrer, clairette doit revêtir la tenue de rigueur

18 a Shusht tombeau de Daniel

 

La cour du tombeau.

18 c shusht tombeau de Daniel 

 

L’intérieur, coté femmes.

18 d shusht

 

 

18 e Shusht

 

Ville de Shooshtar , épargnée par les destructions de la guerre Iran-Irak.

C’est l’époque de la coupe, dans les champs de cannes à sucre.

De même que le blé, dont les moissons commencent.

 

17 g shustar cannes a sucre

 

Vestiges de moulins à eau creusés dans la roche du VIII et X siècle. Ceux-ci étaient régulés par un pont barrage en amont.

30 a Shooshtar

 

Boulanger

30 b Shooshtar boulanger

30 b1 Shooshtar boulanger

 

 Vue d’une partie de la ville. 

30 h Shooshtar

30 h1 Shooshtar

 

Nous approchons du golfe Persique, et découvrons les premières torchères qui illuminent et enfument le ciel.

  Mardi 12 avril 

Hier, il a pleuvioté presque toute la journée.

 Aujourd’hui, journée de liaison sans grand intérêt. Le vent de sable bouche toute vision, c’est un vent terrible, qui fait passer le mistral de notre vallée, pour une brise du soir. Les mouvements multiples infligés au sprinter, font perdre le contrôle à l’électronique qui déconnecte l’ESP, et la conduite devient difficile 

Le vent sur la flamme des torchères

40 a Torchère

 

Le paysage est parsemé de gazoduc

40 C

 

Vendeur de carottes

40 F

 

Nuit mouvementée.

Les iraniens vivent aussi la nuit

Nous sommes couchés lorsque l’on frappe au camion. Ce sont des jeunes femmes qui nous apportent bonbons, gâteaux, pains sucré divers.. Palabres longues et agréables.

Nous dormons… nouveaux coups sur le camion,  c’est un Iranien, très dynamique,

qui me demande de rester là 5 minutes ( la bonne blague, nous dormions). 10minutes plus tard, le revoilà accompagné d’une jeune française qui voyage seule en Iran. Après avoir raconté nos périples respectifs, et décliné son invitation, nous nous recouchons enfin, et pour finir l’orage éclate !

Mercredi 13 avril

Liaison   Benhbahan – Shiraz.

Il pleut, et il pleuvra toute la journée.

 

49 sur la route de Bishapur

50 sur la route de Bishapur

 

Nous entrevoyions le site archéologique de Bishapur. Vestige de l’ancienne capitale sassanide de Shahpur, sans pouvoir accéder à la grotte. Le chemin d’accès n’est pas praticable sous les trombes d’eau.

50a Bishapur

50ac Bishapur

50e Bishapur

50g Bishapur 

 

la route sinue entre 1500 et 2150 mètres,  et nous serons dans les nuages. La vision des chaines de montagnes sera furtive, le peu que nous découvrons semblait prometteur.

 

50h sur la route

 

50j sur la route

 

 

A bientot, au prochain épisode.

 

 

 

 

 

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2 mai 2016

Kerman -Isfahan - Teheran

 

Sur la route.

 8 Sur la route

 

 

 Des cultures de Pistachiers à perte de vue et sur des Kms.

 9 Sur la route

 

Le chien a trouvé une nouvelle distraction.  Le poste de pilotage, il abuse très souvent de notre faiblesse à son égard.

10 Sur la route

 

Liaison longue et démotivante de Kerman vers Yazd, décidément ces routes à 4 voies ne sont pas notre tasse de thé. Heureusement un Caravansérail (touristique) nous attend au bout, pour une soirée étape agréable.

 c1 Caravansérail

 

Cour intérieur.

c2 Caravansérail

 

 

Entre les remparts extérieurs et la cour centrale, des coursives servent pour le repos. Chaque voyageur peut dormir dans des alcôves individuelles. Après un bon repas, nous préférons notre lit.

c3 Caravansérail

 

c8 Caravansérail

 

A l’approche de la ville de Yazd, nous visitons la forteresse de très grande taille « Saryazd »

 D3 Forteresse de Saryazd

  

Tcham, Village où vivent quelques familles Zoroastriennes.

f1 Yazd Tcham village

 

F9 Yazd Tcham village

 

f2 Yazd Tcham village

 

 

Recyclage écologique.

Jusqu’à récemment, les Zoroastriens avaient des rites funéraires très singuliers.

A la mort de l’un des leurs, le corps, passait par un lieu de prière ouvert à tout vent le « Parsehgah, là où l’esprit s’égare. »

 Le lieu de prières « Parsehgah »

  e 9 Tours funéraires Zoroastriens Yazd

 

 Ensuite la dépouille était montée et déposée sur le sommet d’une tour, sur une vaste plate-forme circulaire où les vautours faisaient leurs festins. Les cadavres disparaissaient rapidement, et les ossements restant, étaient jetés par les prêtres dans la fosse centrale. 

Nous visitons deux de ces lieux.

E1 Yazd Tour du Silence

 

E2 Yazd Tour du Silence

 

Sommet de la tour.

E3 Yazd Tour du Silence

 

C’est ce premier site que nous avons préféré, plus isolé et moins fréquenté.

Cette pratique, pourtant écologique, a été interdite en 1960.

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Un deuxième site, qui comporte deux tours du silence, et qui avaient les mêmes fonctions, se trouvent maintenant encerclées par la ville.

 

e4 Tours funéraires Zoroastriens Yazd

 

e6Tours funéraires Zoroastriens Yazd

 

Vue du sommet d’une des tours du silence, le quartier universitaire de Yazd.

e10 Tours funéraires Zoroastriens Yazd

 

Nous restons trois jours autour de la ville de Yazd

Manque de chance, ce jeudi est un Jour de fête religieuse, et toutes les Mosquées sont fermées aux touristes. Très peu de commerces sont ouverts. Demain vendredi comme chez nous,  les habitants font le pont.

Clairette qui a très chaud, met une robe très légère achetée au Maroc avec un foulard.  Habillée ainsi, elle à moins chaud. Comme je n’apprécie pas trop, elle se changera rapidement et je retrouverai ma bonne humeur.

G 1 Yazd

 

Lucky aussi a ses humeurs, il ne supporte plus les demandes incessantes de photos, et les caresses pas toujours très tendres. Alors il hurle !

.G 1a Yazd

 

Mosquée du vendredi.

G 2 Yazd

 

Ingénieux système de climatisation à l'aide de tours, qui créent un courant d'air.

G 3 Yazd

 

Comme dans toutes les villes traversées, le weekend est la journée camping et pique-nique pour beaucoup d’Iraniens qui montent leurs tentes dans des parcs aménagés.

G 4 Yazd

 

Sur la route, dans la ville  de Yazd.

G 6Yazd

 

Transport familial à quatre, et à cinq.

G 7 Yazd

 

 

G 8 Yazd

 

Nous quittons Yazd en direction d Isfahan, mais nous tentons un itinéraire par des petites routes et pistes, si possible.

G 9 Yazd

 

Notre bivouac de ce soir.

G 10 Yazd

 

Aujourd’hui ce n’est que du bonheur, traversées de petits villages extraordinaires, et des pistes faciles.

 1 a Désert Khargushi

 

 

2 a Désert Khargushi

    

Nous découvrons un superbe caravansérail. au lieu-dit sur ma carte Osi, khargushi.

N 32° 11,9444      E 53° 11,4934

 Il est situé en plein désert, à 65 Km au sud de la ville de Nain, qui était une ville étape importante sur la route caravanière des indes. Nul doute, que ce caravansérail vu sa taille faisait parti des étapes de l’époque.

 

3 a Désert Khargushi

 

 

4 a Désert Khargushi

 

 

6 a Désert Khargushi

 

 

8 a Désert Khargushi

 

 

Au centre de l’ensemble, une source permet aux bergers  locaux de s’approvisionner en eau.

9 a Désert Khargushi

 

 

C est la partie supérieure de l’édifice, qui a le moins souffert du pillage de pierres et de briques.

 10 a Désert Khargushi

 

10 b Désert Khargushi

 

 

11 a Désert Khargushi

 

 

Hélas, après être partis dans des rèves imaginatifs sur la fréquentation des lieux, il nous faut bien repartir….

12 a Désert Khargushi

 

 

visible de très loin, de beaux mirages s’effacent en approchant.

13 a Désert Khargushi

 

Dans le village de Varzaneh, un agriculteur a remis en marche pour les curieux, un système d’irrigation d’autrefois. Un yack descend la pente de la fosse, tirant un cordage qui remonte l’eau du puits.

d1a

 

 

d1b

 

 

d2

 

Des bergers soignent leurs troupeaux, ils vivent dans des conditions difficiles. Un vrai bonheur pour moi, mais pas plus de 15 jours.

E 1 Désert

 

 

E2

 

A Abarkuh un cèdre blanc a atteint l’âge de 4500 ans. Ce serait le plus vieux de la planète. Haut de 25 mètres, son pied à une circonférence de 15,50 mètres.

 F1 Abarkuh

 

 

F1a Abarkuh

 

 

Ce réservoir d’eau est désaffecté, mais reste impressionnant par sa taille, un escalier

en extérieur très raide, permet son ascension.

 Réservoir d’Abarkuh 

F2 Abarkuh 

 

Bivouac

F3 Abarkuh

 

 

Pour la restauration de la Mosquée, les matériaux sont confectionnés sur place.

F4

 

Des vendeurs proposent des petits fruits verts.  Micro pomme ou prune ?  Le goût est désagréable, extrêmement acide au premier coup de dents.  Il suffit de rajouter une bonne pincée de sel, et le fruit devient "délicieux". Par prudence intestinal, je les mange par petite quantité, à chaque repas.

 F5

 

Mardi 26 avril

 Encore une bonne journée de petites routes, et de pistes en perspective.

Dans la plaine, entre la montagne lointaine et le village, des tas de terre émergent tous les 50 mètres.

Prés de l’un deux, six hommes attendent devant un palan rudimentaire. Ils ne seront pas de trop pour remonter leurs deux compagnons qui travaillent à l’entretien de la galerie d’écoulement d’eau, 46 mètres plus bas.

 La conduite presque horizontale, creusée à mains d hommes, à une largeur de

50 cm et un homme s’y tient debout.

G1galerie souterraine

 

En fin de journée, nous rejoignons la RN et doublons Léonie et Maurice, qui voyagent depuis des mois, partis de Fribourg en stop, ils ont acheté leur moto pour visiter l Iran.  

G2 Leonie et Maurice

 

 Un petit apéro au coca, et les voilà repartis vers les pays en Stans, la Chine, et l’Inde.

 G3 Leonie et Maurice

 

 

Nous décidons de dormir dans une petite vallée qui nous semble agréable, nous sommes arrêtés par une patrouille.  

Apres une heure d’interrogation au poste de police… le défilé des officiels en civil, nous devons suivre l’un deux qui nous lâche 80 kms plus loin, en direction d’Ispahan. Nous ne devions pas être dans au bon endroit.

 

G4 controle Police

 

Notre bivouac de ce soir.

G5 Bivouac du 26 04 2016

 

 

Sur la route.

G6 

 

 

G6a

 

 

Dans chaque ville, chaque quartier, chaque rue, tous les 2 à 300 mètres, une petite urne type boite à lettres au logo de ce véhicule, sollicite les dons.

  Photo d’un préposé à la collecte.

 G6b

 

 

Isfahan.

Entre autre, visite de la cathédrale Arménienne de Vanq, et de l église de Bethleem.

 G7 cathedrale de Vanq Isfahan

 

 

G9 cathedrale de Vanq Isfahan

 

 

G10 cathedrale de Vanq Isfahan

 

 

Promenades sur les trois ponts intéressants, qui enjambent la Zayandeh Rud.

Dont celui d’Allahverdikhan.

 G11 pont Allahverdikhan

 

 

G12 pont Allahverdikhan

 

 

G12a pont Allahverdikhan

 

 

G13

 

Après un mois passé en Iran, nous devons faire prolonger nos visas à Isfahan.

 Ni Clairette ni moi, sommes vraiment emballés de passer un mois supplémentaire en Iran. Les paysages sont beaux, les Iraniens accueillants, mais la magie du voyage n’opère plus. Alors pourquoi se forcer...

S’ajoute Trois raisons supplémentaires :  

    - Mon épaule, qui suite à une chute en Gyropode me titille.

    - J’hésite à traverser le (Dacht-e Kavir) désert de l’Est avec le moteur, qui à froid, émet un bruit suspect.

    - La fatigue du voyage, et la conduite en ville extrêmement stressante, au point de me démotiver d’y     rentrer.

 Il nous reste 6 jours avec nos visas actuels, c’est suffisant pour rejoindre la Turquie.

 Nous remontons tranquillement vers Téhéran.

 

 

 Ville sainte de Qom, une des villes les plus conservatrices du Pays.

 Clairette part visiter le Mausolée Hazrat-e Masumeh. Sa garde robe lui évite le prêt du Tchador obligatoire. En se joignant à un groupe de femmes Iraniennes, elle passe incognito et évite le Scotch attribué aux touristes.

G13a Mausolée Hazrat-e Masumeh

 Elle fera la visite librement, sans même avoir un coup de plumeau des gardiens de la moral et de la juste attitude. Malheureusement, sans pouvoir faire de photos pour les femmes...

 

  Clairette à la Mosquée Jamkaran

G14 Mosquée Jamkaran

 

 

G15 Mosquée Jamkaran

 

 

G17 Mosquée Jamkaran

 

G18 Mosquée Jamkaran

 

G19 Mosquée Jamkaran

 

 

G21

 

Téhéran

Ville des conducteurs fous !, c’est le summum de l'irresponsabilité.

En Iran, une campagne publicitaire le long de la route, incite les conducteurs à la prudence. Des épaves, gravement accidentées, sont exposées aux carrefours. Peine perdue …

 

Mausolée de l’Ayatollah Khamenei.

Le culte de la personnalité des dignitaires religieux est très développé. 

J4 Mausolée Khamenei

 

 

J5 Mausolée Khamenei

 

 

J6 Mausolée Khamenei

 

 

J7 Mausolée Khamenei

 

Si Coca-Cola et Fanta sont distribués partout, Mac-Donalds n’est pas présent.

Un petit malin, affiche La copie Mac Golam à Téhéran.

k1 Mac Gholam 

La majorité des petits restaurants Fastfoods font leur pub avec des affiches proposant des hamburgers, peu en propose réellement. Ils vendent des briques, et de la nourriture locale.

 

Grâce à un jeune couple rencontré dans la ville de Qazvin, nous dinons ce soir, dans le meilleur restaurant de notre voyage. Nous partageons le gâteau d’un anniversaire à la table voisine.

Visite du Mausolée de Solthaiyeh malheureusement nous ne verrons rien, l’intérieur est entièrement occulté par des échafaudages. Ce qui n’empêche pas le guichetier, de réclamer 400 000 Rials  (11.76 €) pour la visite.

M1 Mausolée de Solthaiyeh

 

 

Ce soir, bivouac idéal en pleine nature sur le bord d’un petit chemin. A 2 heures du matin, Lucky gronde. Quelqu’un fait le tour du camion et essaie discrètement d’ouvrir les portières.

Je klaxonne, pour montrer que le camion est occupé. Nous quittons le lieu, pour bivouaquer 10 kms plus Loin.

Nous préférons la situation qui arrive de temps en temps, être réveillés avec des coups francs sur le camion, c’est une demande de contact à laquelle nous répondons.    

M3 bivouac trop tranquille

 

 

A bientôt, au prochain épisode.

 

 

 

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17 mai 2016

Turquie, suite et fin.

 

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« Iran »

Après avoir cherché sur Google, voici un complément d’info sur l’Iran, qui ne nous étonne pas.

 Avec 17 millions de véhicules circulant, le bilan des accidents de la route pour la seule année 2014, s’élève à 26 888 morts et 12 020 blessés graves dont 28 % de piétons. (Ouf… nous sommes sortis stressés mais sans problème)

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« Turquie »

Un panneau nous attire vers le petit village de Tödürge Köyü, pour voir les caves dans les falaises « Kaya Magaralar. »

 

B1 Roc caves

 

Passage dans la ville de Kangal, où des petits poissons peuvent vous refaire un épiderme de 1ère qualité. 

a1 Kangal

 

 

Le Caravansérail de Sultanhani, est austère en extérieur.  Au parfum de la pièce principale, celle-ci doit servir de temps en temps de bergerie.   

 c1 Caravanserail Sultanhani

 

 

c2 Caravanserail Sultanhani

 

 

c6 Caravanserail Sultanhani

 

 

c7 Caravanserail Sultanhani

 

 

c8 Caravanserail Sultanhani

 

 

Ville de Kayseri

 d1 KayseriGrande

 

Le minaret en briques de la grande mosquée, et l’espace réservé aux ablutions avant les prières.

 d4 Kayseri

 

 

d5 Kayseri

 

Le Bazard c’est étendu jusque dans un ancien caravansérail.

 d6 Kayseri

 

Robes de gala.

d7 Kayseri

 

 

Bivouac

E7 bivouac

 

Passage chez les Hitittes.

Visite des vestiges de la ville d’Hattousa. Il y a 3 500 ans, capital des Hittites (1580 - 1190 av. J.-C)

g6 Hittites Hattusa

 

 

g7 Hittites Hattusa

 

 

g12 Hittites Hattusa

 

Les portes du Sphinx « Yerkapi »: Le passage enterré construit d’énormes blocs de roche, mesure 71 m de long.

Les sphinx ne sont plus sur place, mais dans des musées à Berlin, et à Ankara.

G13V Hittites Hattusa

 

 

A quelques centaines de mètre, le site de Yazilikaya compte plus 80 bas-reliefs.

g13w Hittites Hattusa

 

  

g13y Hittites Hattusa

 

 

A l’entrée du site, nous avons droit à une présentation de Kilim.

Après trois tapis au sol, nous buvons notre thé et remercions gentiment.

Nous partons visiter, munis d’un ouvrage en français très complet sur les Hittites.

g14 Hittites Hattusa

 

 

En mai, les champs de l’Anatolie central sont peuplés d’ouvriers agricoles. Ils travaillent et vivent sur place, en famille dans de grandes tentes

Du plus jeune au plus vieux, tous participent aux travaux. Les très vieilles, moins valides, préparent et servent les repas et le thé aux bords des champs.

 G15 sur la route

 

 

 

G16 sur la route

 

 

« La porte des Sphinx » Un autre site plus au nord, Alaca-Höyük ville prospère pré-Hittites qu’ils s’approprièrent.

J1 Alaca Hoyuk Têtes des sphinx Hittites

     

Sur le site à un niveau inférieur, six tombes royales, antérieur aux Hittites.

 J4 Alaca Hoyuk tombes royales

 

Visite du petit musée archéologique, où les objets sont présentés avec art.

 J6 Alaca Hoyuk Musée

 

 

J7 Alaca Hoyuk Musée

 

 

J8 Alaca Hoyuk Musée

 

 

J9 Alaca Hoyuk Musée

 

 

J10 Alaca Hoyuk Musée

 

Aujourd’hui vendredi 13 mai.

Dans l’une des Mosquée de la ville de Corum, l’appel à la prière se fait entendre depuis un moment. Des hommes en retard courent, la Mosquée est grande, les fidèles sont très nombreux, il leur faut faire la queue pour rentrer.

J11 Mosquée de la ville de Corum

 

Nous découvrons les jolies maisons des villes de Safranbolu et Yoru- Koyu, toute deux classées par l’Unesco. La première est une usine à touristes où nous déjeunons.

Les jeunes qui se photographient entre eux, pour être souriant sur les photos, ne prononcent pas ouistiti, mais Alcaïda. Si le résultat est assuré, faut-il en sourire !

J17 Safranbolu

 

 

J18 Safranbolu

 

 

Tout en étant très touristique, la seconde (Yoru- Koyu) est vraiment plus authentique.

J19 Yoru- Koyu

 

 

J20 Yoru- Koyu

 

Monokini ou Burkini, les deux types se côtoient, à l’image de la population Turque.  

K 4 bord de mer Noire

 

 

Au bord de la mer noire, nous assistons à une remontée manuelle de filet de pèche.

La météo nous a beaucoup aidé pour les photos, les couleurs étaient superbes.

Seuls les pécheurs seront déçus, par quelques poissons minuscules.

K2a Pécheurs mer Noire

 

 

K5 Pécheurs mer Noire

 

 

K8 Pécheurs mer Noire

 

Après le temps passé en Iran et dans l Est de la Turquie, l’Arrivée à Istanbul le long de la mer de Marmara est surprenante, c’est le monde moderne qui nous saute aux yeux.

L1 Istanbul

 

 

Sur le Bosphore

L2 Istanbul

 

 

Face à Sainte Sophie, mais de l’autre coté du Bosphore, (coté Orient), une imposante Mosquée dont 6 minarets, sont en construction.

 L3 Istanbul

 

 

Dimanche 15 Mai

C’est le match attendu par les supporters de foot locaux. Istanbul - Ankara. Le match a lieu en soirée, mais depuis midi la ville d’Istanbul est en liesse.

En banlieue, sur l’autoroute bloquée, des supporters vendent des drapeaux du club. Le fanion à la fenêtre, nous rentrons dans Istanbul.

Au centre ville, notre vitesse de déplacement, est de 0.3 km heure, L’ambiance est très électrique, (ils ont déjà gagné).                75 000 personnes le contenu du stade, se dirrigent vers celui-ci. En fin d’après midi, nous sommes soulagés… et tristes… de sortir de cette ambiance de fête.

L5 Istanbul

 

 

L8 Istanbul

 

 

Passage de la frontières Turque-Grèce en 15 minutes. 7 en Turquie 8 en Europe, pas de fouille, pas de contrôle. 

 

 

La suite lors d'un prochain voyage...

 

 

 

 

 

 

 

 

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6 janvier 2017

Afrique de l Ouest

Le 2 janvier 2017, nous partons pour l'Afrique de l'Ouest pour  4 mois. Retour courant avril.
Maroc, Mauritanie, Sénégal, Guinée-Bissau, Guinée-Conakry, Gambie, et si nous avons le temps, la  Sierra Leone.

Afrique de l'ouest

 

 

Gilles et Béné ne sont pas là... les premiers petits problèmes sont pour nous.

IMG_5626

 

Après une belle demonstration, nous sommes conquis par ce gadget, pour les voyages à venir.

IMG_5630

 

Nous sommes ce soir, à Algésiras au sud de l'Espagne. Grand soleil et 18°

à bientot pour la suite, lors d'un prochain épisode.

 

 

 

 

 

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15 janvier 2017

Jusqu'au sud du Maroc

Le temps est au beau fixe depuis notre départ de France.

Nous avons retrouvé trois équipages, compagnons de route. Dès notre premier bivouac au Maroc,  il faut remplacer avec les moyens du bord,  une grille d'aération qui a disparu. Invasion des moustiques oblige!   Heureusement,  j'ai ce qu'il faut, dans mes coffres.

1 Réparation contre les moustiques aération Serge

 

Partis de France plus tard, Serge et Christiane  nous rejoignent. Nées en 1933 et 34. Ils sont d'un dynamisme  qui laisse rêveur,  bel exemple à suivre...

 Après 2000 km de routes en 2 jours, Serge qui n'a jamais été malade, ne se sent pas très bien.  Son état s'aggrave, malgré ses réticences, nous décidons de l'avis général, de  l'amener à l'hôpital de Casablanca.

Clairette conduit le Sprinter, et je prends le volant du camion de Serge.

Nous découvrons " l'Hôpital " c'est tout un quartier de la ville, à la propreté africaine. Une multitude d'accompagnants ou de malades  attendent.  A l’intérieur et à l'extérieur,  ça gesticule,  ça vocifère, ça ne sent pas la fleur...   ça un petit air de Cour des Miracles .

 Devant la volonté de claire, qui a pris les choses en main, ils sont redirigés  vers une clinique privée, qui semble correspondre à nos critères.  Après un gros dépôt de garantie, les examens peuvent commencer. Clairette nous rejoint dans la soirée. Pas de chance, après des années passées à voyager autour du monde sans problème, c'était Christiane qui l'année dernière avait été rapatriée d'Iran, avant-bras fracturé.

Inutile de bloquer tout le monde à Casablanca. Les deux autres équipages filent vers la Mauritanie, nous les rejoindrons plus tard.

     

     

Je gagne un concours de vache .    

Qui a le plus beau sourire ?  A n'en pas douter, c'est Clairette.     

   

2 vache qui rit 2

          

12 janvier

Serge, bourré d'antibiotiques, sort après 2 jours de la clinique. Nous repartons vers le sud.

Pour rattraper notre retard, les journées de route sont longues et fatigantes.

Pas toujours facile à doubler sur les petites routes.

3 CAMION DE PAILLE

 

Bien emmitouflé, pour se protéger du vent et des embruns, un pécheur sympathique bavarde avec clairette.

4 pecheur Tan Tan

 

Le 14 Janvier

Appel inopiné de clairette à la radio, surprise, les deux équipages échappés nous répondent. Nous nous retrouvons  après la ville de Tan-Tan.

Le  paysage change, nous approchons le désert du sud marocain, revendiqué pas le pays voisin.  Les premiers contrôles de police ont commencé. Les fiches signalétiques que nous avons préparées  sont efficaces, elles simplifient le temps passé aux formalités.

5 Tan-Tan

 

Ils nous restent dans nos véhicules, des bouteilles de vin et d’apéro. En Mauritanie, (République islamique) l'alcool  est considéré comme une drogue, et sa possession engage à de très lourdes peines. Inutile de prendre de risques, nous avons deux jours pour tout boire. joyeuses beuveries en perspective.

 

L’équipe au bistro de Boujdour, pour un thé

10 Boujdour

 

Bivouac  à Tarfaya

Monument et musée à la mémoire de Saint Exupérie

8 Tarfaya

9 Tarfaya

 

 

Très près de la ville,  il y a quelques années un ferry qui desservait les Canaris, c'est échoué . L'épave est restée sur place.

7 Tarfaya

 

 

6 Tarfaya 2

 

Nous passons en Mauritanie le 17 Janvier, la suite au prochain épisode.

 

 

 

 

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24 janvier 2017

Mauritanie-Sénégal.

 

Nous n'avons pas réussi à finir toutes nos bouteilles d'alcool, Serge enterre les siennes à un point GPS qu'il relève avec précision, il  les retrouvera à son retour. Pas sûr que la cave soit très bonne.

1 Serge enterre ses boutelles

 

Le passage de la douane marocaine et mauritanienne s’effectue  en 4 h 30, sans fouille des véhicules.  L' atmosphère est détendue, douaniers et facilitateurs sont sympathiques. Comme dans beaucoup de frontières, l'ordre de passage d'un bureau à un autre est désordonné.

 

Mauritanie

 0a

 

Deux autres équipages 4x4 du CCRSM, nous on rejoint.(Marc et Murielle, Jean Jacques et Évelyne)

 Après les formalités de visas pour la Guinée et la Sierra Leone à Dakar, nous tenterons de rejoindrons  Guirobé ,  un petit village de brousse à l'est du Sénégal, en passant par  la piste de Mali. Chalenge pour notre véhicule, moins adapté pour cette piste que celui de Jean-Jacques et Marco.

 

2B

 

Les autres équipages passeront par une piste plus roulante.

Les paysages de Mauritanie nous semblent plus beaux que ceux du sud du Sahara occidental marocain. Nous sommes maintenant vraiment dans le voyage. Les paysages, la population, la végétation ont changé, et la température ne cesse de monter 34 degrés cette après- midi.

3 Dromadaires clairette et Murielle

 

5 dromadaires

 

La Mauritanie le pays du dromadaire

 7 Mauritanie

 

Nous longeons parc national du banc d'Arguin par l'Est. En bordure de route, devant de minuscules cabanes, de petites coopératives de pêcheur font sécher les poissons.

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4 poissons séchés

 

Si nous en avons la possibilité, nous essaierons de visiter la réserve naturelle du banc, lors de la visite de la Mauritanie à notre retour. Passage rapide par Nouakchott, capital de la Mauritanie. Puis c'est la frontière de Diama. L'accès n'est pas facile, et est éprouvant pour les véhicules, ce qui explique le faible taux de passage à ce poste. Difficile de prouver un poste de douane aussi décontracté, et bon enfant. Bien sûr, chacun désire sa petite commission, mais c'est si gentiment demandé...

La suite de la visite de la Mauritanie, ce sera pour avril, à notre retour.

Sénégal

 

0

 

Bivouac sur la lagune de Barbarie, nous arrivons et traversons la ville de St Louis le soir. Nous entrons  dans une fourmilière que l'on aurait remué, ça grouille de vies 

 

 Vendredi 20 visites de Saint-Louis.

8 St Louis

 

9 St Louis

 

11a St Louis

 

34A St Louis

 

Les baby-foot, tous de couleurs locales, sont dans la rue.

 

35 St Louis

 

 

Même impression que la veille au soir. Le plus de ce matin, les couleurs chatoyantes et les odeurs de poissons pourris qui parfument ce quartier de la ville. Les pirogues par centaines déversent leurs poissons, dans des cageots, ou sur le sable. Ils seront  livrés dans les jours qui suivent dans tout le pays  jusqu'au Mali .

Une partie de la pêche sera traitée sur place et fumée.

On en laissera pourrir une autre partie, avant de tremper le poisson dans la Saumur, pour finalement les faires sécher au soleil. C'est sûrement très bon, mais avant de consommer, il vaut mieux ni le voir ni le sentir.

Poissons fumés sur la plage.

21 St Louis

 

22 st Louis

 

Poisson après quelques jours de pourrissement.

23 poissons pourris

 

Salage du poisson en plein air.

24salage poisson

 

Toujours sur la langue de Barbarie, les moyens de transport pour les habitants sont, la calèche, et pas mal de véhicules hors d'âge.

32 St louis

 

33 st Louis

 

IMG_00018

 

Dans le quartier des maisons coloniales, une cour intérieure où règne un autre monde, Propreté fraîcheur,  calme et silence.

33b St Louis

 

33a St Louis

 

Pas de baigneurs sur les plages, côté fleuve.

50 St Louis

 

Uniformes pour les petits, et les grands.

 

51 st Louis

 

 

D'autres scènes de la rue.

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53 St Louis

 

54 St Louis

 

 Hormis l'odeur du poisson pourri, nous avons beaucoup apprécié la langue de barbarie dans la ville de saint Louis du Sénégal, le tourisme  semble inexistant en cette période. Les visites sont faciles, la population est active et courtoise. Les vendeurs ne sont pas collants. Enfants et adultes ne font pas de racolage.  

Nous partons pour le lac Rose, au nord de Dakar.

La suite de Dakar dans un prochain épisode... peut être demain soir ?

 

 

 

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8 février 2017

Guirobé suite et fin

lesamisdeguirobe.kazeo.com

 Suite à une chute de nuit, Jacques s'est désarticulé le bras, le coude sorti de son logement, c'est visiblement très douloureux.   En pleine brousse, faire venir des secours, trouver une ambulance confortable, un dispensaire efficace est un exploit que réussira en partie Augustin l'instituteur du village. Seul le confort de l'ambulance ne sera pas une réussite.

 

Pour situer Kidira ville frontière avec le Mali, je n'ai rien trouvé de mieux que la carte de l'école.

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 les différentes communes que nous avons traversé à l'est du pays, sont très pauvres.

Suivent  quelques photos de Kidira. 

 

2 kidira

 

 

3 kidira

 

 

4 kidiraGrande

 

 

Certains Baobabs ont une taille importante, le tronc approche les 16 mètres de circonférence.

5 Guirobé

 

Cette jolie plante à fleurs roses a de redoutables pouvoirs. La sève de son tronc mis sur le bout d'une flèche endort un animal à tout jamais.

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Les jours passés à Guirobé, permettent (entre autres) aux  femmes du groupe  de participer aux côtés festifs de la vie de l'association.

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Nous autres les hommes, après la balade matinale, avons tendance à buller autour d'un verre, la bonne excuse, il fait très chaud.

Suffisamment loin pour ne pas être stressé, nous croisons une colonie d'une centaine de singes dont plusieurs gros mâles, lors d'une de nos promenades à pieds.

9 Oubole

 

 

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 Enfants du village.

6 enfants de Guirobé

 

 

7 enfants de Guirobé

 

Soirée palabre au village.

20 Guirobé palabre   

 

 

 8 Guirobé palabre

 

 

Dans un grand village de brousse d'Oubole "plus en profondeur" comme ils disent, 4 classes scolaires. Chacune compte plus de 70 élèves, nous sommes impressionnés par l'ordre, le silence et l'attention  qui règnent dans chacune d'elles. Belle exemple d'enseignement, et de discipline réussi. Les élèves entonnent pour nous, sous la direction de leur instituteur le chant de la renaissance africaine.

10 Oubole Sénégal

 

Oubole

13 Oubole

 

 

14 Oubole

 

 

15 Oubole

 

Sur les murs des classes des différentes  écoles visitées, des dizaines de textes rappellent aux élèves des maximes essentielles.

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Dimanche à la chapelle de Kidira

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Le trombinoscope de toute l'équipe, lors du dîner offert par les femmes du village. Nous nous sommes régalés. Au menu, poulets fourrés aux oignons et piments, plus des frites à température ambiante. (cuites en milieux de l'après-midi) .

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Lundi 6 février

Ce soir, une imprudence, et une des cases du village brûle.  Tout le village se mobilise,  les femmes transportent l'eau dans les bassines, les hommes démontent les murs en pisé dont certaines parties brûlent  par la paille qui les constitue.  La préoccupation principale, que le feu ne se propage pas aux autres cases. Les  dégâts ne sont que matériels, mais la famille a tout perdu.

16a Guirobé

  

Après avoir été soigné par l'application régulière de beurre de Karité (médication locale)   Jacques a en quelques jours, retrouvé un usage relatif de son bras.

 Nous quittons Guirobé,  et partons avec le vent de sable venu de Mauritanie vers la ville de Tambacounda, dernières villes d'importance, avant la frontière guinéenne.   

Notre ressentie sur l'Est du Sénégal :  Ce voyage dans l'Est fut un enchantement. La populations n'est pas aisée financièrement, mais à une richesse d'accueil exceptionnel.      

La suite en Guinée au prochain épisode

 

 

 

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18 février 2017

Guinée

 

0 Guinée

 

Les frontières sénégalaise de kalifourouet guinéenne n'ouvrent qu’à 15h, nous avons deux heures à attendre devant les cordes qui la matérialisent.

 

Postes de douanes

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13 poste de douane dekalifourou

 

A  l'ouverture, le douanier ne connaît pas les carnets ATA, Jacques lui explique comment le remplir, ou mettre le tampon et sa signature. Formalités expédiées en qqs minutes.

 Nous filons vers Youkounkoun

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20 km de pistes défoncées, et nous arrivons de nuit. Les militaires et la gendarmerie locale  nous tombent dessus. Après une discussion énergique, ils acceptent que nous dormions sur place.

Nous nous installons, et le sous-préfet arrive, pas très aimable "J'aurais dû être informé par les voix officielles de votre venue" bref, après un cours de morale sur notre condition, et les obligations liées de ses fonctions, il nous souhaite la bienvenue. Ouf ! chacun a sauvé la face.   

 

Sur la RN qui n'en a que le nom, Youkounkoun est une localité isolée, constituée de multiples petits villages de brousse. De grands arbres des fromagers, dont ils ne restent que les souches,  bordaient la piste.

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Nous visitons un des villages

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 53 youkounkoun

 

 

Toujours à Youkounkoun, cette vieille femme ramasse des arachides, en grattant la terre sablonneuse.  

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Nous repartons en direction des échelles de lianes de Lelouna, puis la ville de Labé.

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La route qui mène a Labé, devient soudain une piste difficile.

La vitesse et les kilomètres ne comptent plus, seul le temps a de l'importance. Quelques dizaines de kms de piste, et nous sommes à nouveau pris par la nuit.

 

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50a piste Labé

 

 

12 piste vers Labé

 

 

Nous abandonnons l'idée des visites des échelles de Lelouna, ainsi que la dame du Mali, les camions souffrent trop.  Direction Labé.  (Gilles, tu aurais adoré)

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Termitières.

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Un cadavre en bord de route, et des charognards font bombances.

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Arrivés à l'hôtel Tata de Labé, pendant le repas un artiste local, nous  interprète des musiques guinéennes à l'aide de son balafon.

 60 Balafon hotel Tata Labé

 

 Si la musique est bonne, comme les pizzas du chef par ailleurs, je n'y retournerais pas. les prestations de l'hôtel sont celles du pays, avec des tarif proches des nôtres en Provence.

 Nos compagnons de route sont agréables et sympathiques, mais il nous manque les belles rencontres que nous faisons en solo. Alors ce matin, nous les quittons pour plusieurs jours et continuons seuls le périple.

 Notre guide bénévole, qui nous fait découvrir les recoins de sa ville.

 60v Ville de Labé

 

 

Nos attentes sont immédiatement comblées pour ce premier jour. Apres avoir été au marché de la ville de Labé, faire du change, nous visitons le jardin botanique d'Alpha.

le personnage est un fervent admirateur de Pierre Rabith, et cela se ressent dans son amour pour la Terre.

 60a jardin d'Alpha Labé

 

 

61 jardin d'Alpha Labé

 

 

63 jardin d'Alpha Labé

 

 

Graines de café

70 graines de café

 

 

Hommage à ma maman.

  Après avoir égaillé nos cœurs tant d'années, la petite flamme qui la maintenait en vie vient de s'éteindre.

 112 Ma Maman cherie que j'aime

 

 

Lundi, 13 février

Nous partons pour la ville de Dabola, visite de la case à palabre où fut décidée l'indépendance de la Guinée. Classée par l'UNESCO.

 3 cases à palabre Dalaba

 

 

4 cases à palabre Dalaba

 

Nous bivouaquons dans la cour d'un petit restaurant, où nous avons mangé un excellent et copieux poulet légumes, cuisiné à la guinéenne. (Boissons comprises 2,50 € chacun).

 

Différents villages, sur la route de Dalaba.

 2 Dalaba lessives

 

 

5 sur la roure Dalaba Dabola

 

 

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Barrage et chutes de Dalaba:

les chutes sont à sec, il faut attendre la saison des pluies (août) pour les voir en eau.

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Usagés de la route.

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33 Dabola

 

 

 

Ville de Dabola:

En arrivant, nous rencontrons Baley un américain qui aide en Afrique, bénévole dans le corps de la paix. Il aide des populations pauvres.

34 Dabola

 

La case dans laquelle il vit.

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Il nous amène chez deux expatriés, qui travaillent dans une usine de transformation de l'arachide en huile. L'un est directeur technique et l'autre agronome. Nous passons une excellente soirée. 

Après une nuit très chaude, 35 degrés sans le moindre souffle d'air, notre hôte nous fait visiter l'usine.

  Les machines de l’usine sont neuves. Le stock de cacahouètes est dérisoire pour les capacités de l'usine. Il reste à former les populations locales pour produire des arachides, c'est le rôle de  l'agronome. J'expliquerai de vive voix les détails croustillants de la coopération

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 Direction la ville de Kouroussa.

 Je quitte les routes principales, et essaie de couper par des pistes secondaires. Plus en profondeur, c'est plus sympa, même si le temps du parcours est beaucoup plus long, et plus fatigant.

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46 BARO

 

 

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Un peu avant la ville de kouroussa, nous faisons le plein (80 centimes d' € le litre dans toute la Guinée). Des dizaines de motards sur leurs petites 125 cm3 font aussi le plein. Ils partent avec 170 litres de carburant, ravitailler les villages qui ne sont pas accessibles en voiture. J'admire leur adresse, pour circuler sur les pistes défoncées avec un tel poids.

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Bivouac le long du Fleuve Niger, un lieu de passage par des barques.

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C’est la ville de Kankan que nous abordons aujourd'hui. Après quelques courses, l'achat d’une nouvelle carte Orange qui fonctionne, nous partons voir un couple de Français qui élève et soigne des chimpanzés. 4h45 de piste défoncée, et 84 km plus loin, déception le refuge est fermé. Le couple est parti ce matin en Europe. Nous dormons dans la brousse, et repartons très tôt le matin, avec l'espoir vain, de voir des animaux. A midi de retour à Kankan, nous déjeunons dans le restaurant de l'université de la ville.

 

Les artisans de différentes activités travaillent en extérieur.

 57aVille de Kankan

 

 

57b Ville de Kankan

 

 

Vers Kissidougou plus au sud.

180 km de RN  en piste de latérite,  les 100 derniers sont exécrables, et nous avançons lentement, sous 40 degrés.

 66 RN

 

 Résultat, il faut bivouaquer.

Au petit village de Yaladou,  je demande à voir  le chef du village, afin d'avoir l'autorisation de dormir dans le village.  Il a l'air embarrassé, et me dit que dans le village il y a de l'eczéma.  Il finit par me désigner sa propre case au centre du village où nous pouvons dormir. Sûrement plus au frais, nous aurions bien tenté l'expérience, l'eczéma nous décourage, je le remercie et lui montre que nous avons un lit dans le camion.

Avant la tombée de la nuit, jusqu'à ce que nous fermions les rideaux, le village est au spectacle. Les acteurs, deux blancs et leur chien.

Le chef en bonnet blanc, devant sa case.

65a village de Yaladou

 

 

63A

 

 

63village de Yaladou

 

 

61village de Yaladou

 

Le village, sans électricité comme la plupart, vit au rythme du jour, coucher et lever de bonne heure.

Quelques minutes après le chant du coq, les femmes vont aux puits, si le coq ne nous a pas vraiment réveillé, le caquètement des femmes ne nous laisse aucune chance. 

 

 Pont de lianes du village "perdu" de Douaka, au nord de Kissidougou.

Une case typique du village, le chemin d'accès, et le pont.

  70 village de Douaka pont de lianes

 

 

 70a chemin vers le pont de lianes

 

 

71 pont de lianes de Douaka

 

Dans différents villages.

 72 sur la piste

 

 

73 sur la piste

 

 

73a

 

 Changement de moteur sur la piste.

74 sur la piste

 

 

 Dans l'après-midi du vendredi 17, nous arrivons dans la ville de Kissidougou.

 En ayant abandonné la visite de la Sierra Leone, c'est le point le plus au sud de notre périple.

 

 La suite dans un prochain épisode.

 

 

 

26 février 2017

Guinée, embardée fin du voyage

 

Bivouac à Broadou, à l'écart de la ville prés de l'église, au sud de Kissidougou.

Ici, les relations entre chrétiens et musulmans sont pacifiques. Contrairement à la ville de Kankan, où nous étions il y a qqs jours. Il y a quatre mois, le curé a dû faire appel à la police pour protéger la cathédrale de la ville, que des extrémistes religieux tentaient d'incendier. Les relations entre les deux communautés sont tendues, et un nouvel évêque arrive bientôt.

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Ville de Kissidougou

6 Kissidougou

 

 

7 Kissidougou

 

 

8 Kissidougou

 

 

9 Kissidougou couturières

 

10 Kissidougou coiffeur

 

12 Kissidougou vendeuse de charbon de bois

 

 

Nous voulons visiter la réserve animalière du haut Mali.

2 Parc du haut Niger

 

 

3 Parc du haut Niger

 

 

4 Parc du haut Niger

 

 

5Parc du haut Niger

 

Après 30 kms de piste, les tarifs invoqués sur le petit futé 2016 sont dépassés. Multipliés par 30, ils sont dissuasifs même  pour un Européen. Le capitaine de la brigade qui garde le parc nous propose un arrangement, et nous laisse la nuit pour réfléchir. Au matin, nous faisons demi-tour, et rejoignons la ville de Faranah.

Faranah-Mamou tout le monde nous a mis en garde, contre les coupeurs de route sur cet axe. Nous n'en rencontrons heureusement aucun. Ce n'est que partie remise, les brigands c'est plus loin.

 Mamou, la ville a très mauvaise réputation. Nous faisons le plein de carburant à la première station Total en entrant en ville. Mauvais choix, le pompiste me sert, en n'effaçant pas les 200 000 francs guinéens du client précédant  (20€). La distribution a déjà commencé, je lui fait remarquer qu'il y a sûrement une erreur. Il conteste et avec le sourire, ne me compte que les litres effectivement versés.

En sortant, à deux kms de la ville, barrage de la police. Contravention 14 € pour non-port de la ceinture , je lui fait remarquer qu'aucuns des automobilistes qui passent ne la portent pas  (que dire de ceux qui sont sur le toit des voitures).

Toujours avec le sourire, il me répond qu'il ne peut attraper tous les poissons dans son panier. Clairette demande à voir le capitaine,  joue le rôle du renard, avec beaucoup de flatterie et contre des pacotilles, le capitaine laisse tomber sa proie.

Nous repartons, 4 kms plus loin. Changement de juridiction, ce n'est plus la police, c'est la gendarmerie qui contrôle les véhicules qui arrivent en face de nous. Quelques centaines de mètres plus loin, une petite moto nous double, et nous arrête. Amende de 17€ pour refus d'obtempérer . 

Ceux-là sont plus coriaces. Ils sont deux sur la moto, il faut leur laisser 5 €  chacun pour récupérer nos papiers.  Vérification faite le soir, sur la caméra embarquée qui filme en permanence, ils ne nous ont pas demandé, de nous arrêter.

Nous  partons le plus loin possible de Mamou, et dormons deux nuits aux chutes de kilissi pour nous reposer.

15 chute de kissili

 

 

 

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La prochaine étape était la capitale de la Guinée, Conakry.

Murielle et Marco  sont avec Jean Jacques de retour de la Sierra Leone. Ils viennent de rester bloqués deux jours à Conakry,  par des manifestations étudiantes pas très pacifiques.  Comme elles continuent, nous ne visiterons pas la ville. Nous remontons vers le nord, bivouaquer  au cap verga.

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 Nous roulons sur la N 23, une piste  de 170 kms pour remonter à l'Est afin de retourner à Tambacounda au Sénégal. Détour important, mais il permet de contourner la Gambie dont le passage est délicat en ce moment. 

Je croise l’un des rares camions rencontrés .  J'ai mordu sur le bas coté roulé dans des herbes hautes, et heurté une énorme souche que je n'avais pas vu. Le camion fait une embardée.

Le pneu droit est à plat, un bruit suspect dans la suspension, le haut du tablier est déchiré .  Ce n'est pas ici en pleine brousse complètement isolés, que nous pouvons faire réparer. Grand moment de solitude et de désespoir. Je change la roue, et à 10 km heures pendant deux jours de peur de tout arracher, nous faisons 150 kms, et retrouvons le bitume.  Finalement ça semble tenir, et ne pas s’aggraver.

 Adieu la suite du voyage. Maintenant notre seul objectif ramener le sprinter à la maison, et faire réparer. Reste à prévenir l'assurance, sachant que même en tous risques, il n'y a pas d'assistance matérielle possible en Afrique de l'Ouest. Faire réparer en cour de route n'est pas simple.

Il ne reste théoriquement plus que des routes bitumées. Nous devrions pouvoir en roulant 10 heures, faire les 6000 kms en un peu plus de vingt jours.

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Pour revenir à des choses plus agréables, voici notre vision furtive sur la Guinée.

Le pays est recouvert de forêts, les villages sont pour nous tous attractifs, et dépaysant. Les  Guinéens semblent dans leurs grandes majorités, vraiment démunis matériellement.

Leurs curiosités, leurs gentillesses au moindre contact, et surtout le sourire permanent qu'ils ont au bord des lèvres, sont vraiment leurs richesses.  C'est un pays agréable à visiter. Nous avons dormi,  portes et fenêtres ouvertes en bord de villages ou en brousse, nous nous sommes sentis en sécurité partout . Hormis l'épisode de la Ville de Mamou.

La température élevée la nuit, est le seul point moins agréable pour nous.

 

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La suite au prochain voyage en Écosse, avec Gilles en Béné.

 

 

 

 

 

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26 mai 2017

Ecosse Juin 2017

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Après la remise en état, le sprinter est près pour nous amener vers de nouveaux horizons.

Comme prévue, nous partons visiter l'Ecosse avec Gilles et Béné, et leur compagnons de voyage le Popo.

ecosseGrande

 

 

Le billet de passage en Angleterre par Eurotunnel est plus cher qu'annoncé sur le site .  Aller-simple pour  le camping-car, deux adultes et un chien 320 €. Il me semble, que certain ferry son meilleur marché.

Le personnel est accueillant, et le passage rapide (35 minutes).

L’intérieur du train.

a1 Suttle

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

A peine arrivés, une immense fresque murale, semble nous rappeler l’actualité du brexit .

A2 Brexit

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Après un bivouac sur les falaises de Douvres, nous visitons la ville de Canterbury. La ville est agréable, les maisons moyenâgeuses.

Bien que la moitié du bâtiment soit en rénovation et couvert de bâches, la cathédrale est vraiment très belle.

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A4 Canterbery

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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L’angle de fléchissement est impressionnant. Cette photo a dû être prise des milliers de fois.

 

a3__Canterbery

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous devons trainer quelques jours dans le sud, pour attendre gilles et Béné qui doivent nous rejoindre vers le 10 juin.  Alors nous redescendons à Brighton par de petites routes étroites, qui ne permettent pas le croisement de deux véhicules. Les bons usages sont de rigueurs, jusqu’à maintenant la conduite des Anglais nous surprend par le faire plaît dont ils font preuve.

La campagne est très verte  Il pleut la moitié du temps par intermittence, l'autre moitié le soleil brille.

Brighton, son casino et ses jeux d’eaux sur pilotis. ( Brighton Pier)

 

B1 Brighton casino

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

B5 Brighton casino

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nos deux premières observations « d’animaux sauvages » En l’absence du commerçant, le second se régale des pommes sur l’étalage

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La suite au prochain épisode.

 

 

 

 

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25 janvier 2018

Mauritanie 2018

 

Nous complétons le voyage de l’Afrique de l’Ouest interrompu en 2017, suite à notre accident.

 

Cette année, Gilles et Béné et leur fidèle Popo (remis à neuf) sont du voyage, Nous nous retrouvons à Tanger Med.

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Arrivés avec une journée d’avance au Maroc, du parking nous observons un grand nombre de jeunes qui tentent l’aventure de l’émigration. Ils sont poursuivis avec plus ou moins d’efficacité, par la police locale.

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Le lendemain nous sommes heureux de nous retrouver.

 

Cap sur Casablanca, oû nous arrivons malheureusement trop tard pour visiter la Mosquée Hassan II .

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Clairette qui se sort de toutes les situations compliquées, papote en langage des signes avec des sourds muets.

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Ce soir au pied d’une falaise, bivouac près d’une source.

Beaucoup de monde pour s’approvisionner, L’eau doit être bonne, nous passons un moment convivial avec deux musiciens venus la boire .

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Contrôle d’identités en début de nuit, par des militaires.

 

Ce midi, comme à chaque voyage au Maroc, arrêt obligatoire dans la ville de Oualidia pour déguster : Araignées géantes, huîtres, oursins à volontés, palourdes, coques, soles, pour finir avec Homards et autres daurades. Le tout accompagnée d’un vin blanc Marocain. Nous repartons avec les restes.

La promenade sur la plage est aussi obligatoire que l’arrêt, mais pour digérer cette fois.

 

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Une adresse à retenir, le restaurant l’araignée gourmande.

GPS N 32°43 ,989 W 9°2,596

 

Sur la plage vieux vendeur de Coca.

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Arrivée dans la ville de Safi, nous faisons découvrir à Gilles et Béné la colline aux potiers. Bonne occasion de se dégourdir les jambes.

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Bivouac prés de la ville d Asouaira dans la très belle demeure de Marc et Muriel, nos amis du CCRSM avec qui nous avons voyager en 2017. Un grand merci pour cet accueil très chaleureux.

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Ce soir nous approchons de Tan-Tan. Les journées par les Kms parcourus sont fatigantes, et les bivouac sont de bons moments de détente,

 

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La suite lors d'un prochain épisode.

 

 

 

 

 

 

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29 janvier 2018

Descente du Sud Maroc

Vendredi 26 janvier

 

Nous faisons réparer un pneu crevé pour 90 cts d’Euros, le changement d'un optique de phare du Popo perdu en Espagne pour 18 €.

les paysages sont assez monotones. Les étapes se succèdent, Guermine,Tan-Tan , Tarfaya sans beaucoup d événements majeurs.

Le but de notre voyage absorbe toute mon attention, pour Gilles cest plutot les petits bruits du popo.

 

Nous repassons devant le ferry Assalama de la compagnie Armas, échoué sur la plage au Sud de Tarfaya.

 

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Arrivée à Laayoune.

Après un tour de ville où un Mac do tout neuf est sorti de terre, nous filons vers le Sud.

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Depuis quelques kms un roulement de roue du popo fait un bruit inquiétant.

Après le repas, nous décidons de retourner à Laayoune .

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Démontage à l’Africaine du 1/2 train arrière, verdict du garagiste, le roulement qui a été changé avant le départ est grippé.

Gilles part avec le mécano faire le tour des garages de la ville dans l’espoir de trouver la pièce de rechange.

Ils rentrent juste avant la nuit. La réparation temporaire doit être effectuée demain.

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Après une nuit bruyante, une bonne journée de travail est nécessaire pour tout remettre en état. Le travail semble bien fait,

Gilles retrouve le moral.

 

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Le panier à salade de la sûreté nationale qui nous emmène porter plainte.

 

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Béné qui photographiait les réparations du Popo, est victime d’un vol à l’arraché de son Iphone. 

Suite aux appels de Béné tous les gamins de la rue courent à la poursuite du voleur.

Pendant 2 heures 1/2, le préposé de police tape la déposition, cinq collègues l’assistent activement du regard.

Le voleur lui, court toujours….

 

 

Une baraque à frites montée sur un attelage surprenant. Le vendeur offre les frites à Clairette.

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Arrivée à Dakhla, nous faisons le plein sur un captage qui nous délivre une eau avec une forte odeur d'oeufs pourris.

Elle est potable et perd son odeur au bout de qqs heures (parait-il).

Cette année au sud du Maroc, contrairement à l année passée, trés peu de contrôles routiers .

 

Lundi 29 janvier

Ce matin, nous partons de bonne heure, encore 300km et nous passons en Mauritanie.

 

 

La suite lors d'un prochain épisode.

 

 

 

 

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16 février 2018

Atar Nouakchott

Vendredi 9 février

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Du campement kasem nous allons à l’oasis de Thergit, mais le Sprinter en à décidé autrement, il peine à monter la moindre côte. Le gasoil souffré Mauritanien, il n’aime pas.

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Nous avançons en mode dégradé, et sans aucune puissance, rouler dans le sable est impossible.

Heureusement, les paysages sont toujours aussi beaux.

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Pour réparer, c’est Nouakchott la capitale notre prochain arrêt, en espérant trouver une concession Mercedes

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Arrivée dimanche après-midi près de la plage, et du marché aux poissons.

A marée haute, arrivent des centaines de barques multicolores de pécheurs.

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Nous dormons sur place

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Le vent de sable se prépare.

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Plus de gasoil, plus de batterie et la mer monte!  il la sorte à temps.

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Les encombrements du centre ancien de Nouakchott.

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Nouakchott est le dernier espoir de rouler, pour les Mercedes en fin de vies.

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Nous sommes confiants, la concession Mercedes que l’on nous a donné comme hors de prix, possède la fameuse valise de dépannage.

 

L’accueil est sympathique, en attendant l’arrivée du chef d’atelier, avec Gilles nous faisons un tour dans le garage, et là nous sommes moins rassurés.

Que des vielles voitures en réparation. Les quelques récentes sont couvertes de poussière en attente de pièces détachées.

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la concession qui n’a pas eu de visite de la maison maire depuis les année 90 n’est pas riche, nous devons prêter l’outillage de base. Après deux heures de travail, le technicien valise abandonne (trop compliqué)

Nous voila bien avancé !

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« Vous pouvez continuer ! vous ne risquez rien ! ».

C’est pas mon avis, nous remontons donc doucement sur la frontière, sous un vent de sable soutenu.

 

Cela fait deux années de suite que nous devons renoncer, décidément la Mauritanie ne veut pas de nous.

 

Retour vers le Maroc

 

La suite lors d'un prochain épisode,

 

 

19 février 2018

Remontée sur le Maroc

 

No Man's Land entre les deux frontières, quelques centaines de mètre où sont abandonnés les véhicules refoulés par la Mauritanie.

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Nous nous arrêtons à l’hôtel Barbas pour faire bombance, et le blog.

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Longue remontée sur Agadir .

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Clairette teste les wc d’un camping-car, à l’aménagement sanitaire vraiment rudimentaire.

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Samedi 17 fevrier

Mercedes Agadir efface enfin l’alarme du Sprinter, qui retrouve toute sa vélocité.

 

Le problème serait dû à l utilisation du cric gonflable branché sur le pot d’échappement, qui a déséquilibré les sondes de pression, cric que nous avons utilisé pour soulever le véhicule dans la passe d’Amogjar.

 

 

Celui-là , ne tombera pas en panne d’électronique.

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C’est au Maroc que nous continuons notre voyage. Direction Tafraout. Entre-autre, pour renouveler les babouches de Gilles achetées en 2014. Les paysages du Maroc sont toujours aussi beaux, et cela nous change de la fastidieuse remontée du Sahara occidental.

 

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Les rochers peints de Tafraout.

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Bivouac de Tafraout.

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Descente sur Aït Mansour.

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Palmeraie d’Aït Mansour.

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Au matin, direction le village de Tamanart

 

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A la recherche de peintures rupestres, que nous ne trouverons jamais.

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Cette piste nous mènera quand même aux gravures rupestres du village de Tamanart, que Gilles et Béné ne connaissaient pas.

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Dans le village, Clairette et Béné rentrent dans une maison où des femmes apprennent à compter.

Elles profiterons des stylos donnés par les commerces de Valréas.

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Les gamins nous accompagnent le longs du petit canal, qu’il faut suivre pour découvrir les pétroglyphes.

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Bivouac en direction de la ville de Tata.

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La suite lors d'un prochain épisode.

 

 

 

 

 

 

 

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26 février 2018

Tata Zagora

 

Bivouacs

Comme tous les soirs nous avons le choix, parmi des paysages de rêve.

 

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Journée relâche dans la ville de Tata.

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Repas de midi en surplombant un oued.

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Notre prochain but, le désert de Tazzarine, passage obligé par Zagora.

Nous nous arrêtons un long moment par plaisir chez Ali N’Assir, garagiste emblématique de la ville, et lieu de rendez-vous de tous les baroudeurs. Les rencontres sont sympathiques.

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Première piste du désert de Tazzarine .

Depuis que l’asphalte recouvre les anciennes pistes principales, les secondaires qui sont notre terrain de jeux de prédilection, ne sont plus entretenues. Sur le sommet d’un col, nous devons à nouveau rebrousser chemin.

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Ecole rurale Afrou Aït Saadane. Clairette donne ses dernières fournitures scolaires, cartables et Bics.

 

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Ville de Tazzarine

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Nous nous arrêtons au camp Serdrar pour saluer Youffef notre guide et notre hôte, lors de notre marche dans le désert  en octobre 2011. A revoir dans les archives du blog.

Le camp c'est agrandi, et beaucoup de camping-cars ont pris possession des lieux.

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Au nord du camps, un site extraordinaire sur des milliers de m², le sol rocheux est couvert de fossiles du même coquillage.

Des Orthoceras, de l’Ere Primaire (-542 millions d’années)

Nous terminons la journée à la recherche de pièces exceptionnelles, et bivouaquons sur place.

Nous repartons le lendemain chargé de quelques kgs de plus.

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Cette petite plante qui couvre le sol par plaques, ratatinée et refermée sur elle même, s’ouvre et s’épanouit à la période des pluies.

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Une belle piste de 25 kms nous mène aux gravures rupestres de Aït Ouaazik.

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Au Sud Est de Tazzarine, l’une des plus belles pistes que nous avons emprunté au Maroc.

de Aït Ouaazik à Zagora, 80 kms parfois technique avec des paysages magnifiques.

Voir un extrait sur:

https://youtu.be/O3KPFbV5zqg.

 

 Après cette piste, le repos est le bienvenu.

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Retour à Zagora

Aujourd'hui 26 février notre lily à une année de plus. Bon anniversaire !

 

 

La suite au prochain épisode.

 

 

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4 mars 2018

Zagora - Tanger MED

 

ZAGORA et alentours.

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Balade dans la palmeraie.

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Bien que Béné et Clairette ne soit pas en très bonne forme, repas couscous sous une tonnelle très agréable.

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En retrait d’un bon km de la N12, avant Erfoud, une étrange montagne attire mon regard. Elle est circulaire, et une muraille semble boucher l’unique accès. Demi-tour, nous allons voir.

 

On approche...

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Une petite piste monte au sommet, que Gilles et moi gravissons.

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Pendant ce temps, un vendeur de fossiles sorti de de nulle part, donne des renseignements sur le site.

Il y a très longtemps les lieux ont été investis et aménagés par les tribus de l'empire almoravides.(1040-1147)

Une ingénieuse succession de petits barrages, qui existent encore, retenaient l’eau. les habitants vivaient sur les flans intérieurs.

Les Espagnols, les Portugais et les Français leurs succédèrent.

Le site sert maintenant de décors pour de nombreux films, dont le dernier James-Bond.

 

Le premier fut la Momie 1. J’étais petit nous dit le vendeur, quand pour les besoin du film, ils ont cassé le mur pour faire un accès à l’intérieur du site.

 

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Avec espoir, dans la ville d’Errachidia, nous rentrons dans un petit Hypermarché.

Les épices et les pâtes sont là en vrac, dans de grands présentoirs.

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Espoir déçu…

Après un long moment sans une goutte du précieux breuvage, un petit verre de bon vin aurait été le bienvenu. La vache qui rit est vendu en boite d’un litre, on aime moins !

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Bivouac après la ville de Midelt, que l’on aperçoit au pied des montagnes enneigées de l'Atlas.

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Direction des mines d’Azouli. Le spectacle est toujours aussi beau.

Actuellement la piste au Nord des mines est en travaux.

La ballade aura perdu une partie de son charme, lorsque le tapis de goudron aura fini de recouvrir ce qu il reste de piste.

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Rencontre avec de singes Magots dans la forêt de cèdres, avant la ville d’Avrou

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En remontant sur Meknès le temps se gâte, les Oueds débordent. En glissant dans un virage,  le Popo a bien failli terminer son existence au fond du fossé

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Pour les huit jours à venir, la météo n’est pas optimiste.

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Sûrement du au passage répété dans l'eau, le Popo a des problèmes électriques.

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Plus nous remontons vers le Nord, plus les conditions météo se dégradent, nous décidons de rentrer en Espagne.

 

 

La suite lors d'un prochain voyage.

 

25 août 2020

Après de longs mois d'attente, nous repartons

Adieu Sprinter...

Aprés 10 ans de bons et loyaux services et 270 000 kms parcourus, il est parti vers de nouvelles aventures.

A son bord, on souhaite à son nouveaux propriétaire, autant de satisfaction d'émotions et de joies qu'il nous a procuré. 

2010 camping car

 

 

 

Notre nouveau passe-partout, il est plus petit, mais plus adapté à notre style de voyages.

En octobre 2019, un petit tour de Corse nous a permis de nous adopter mutuellement.

Depuis, notre nouvelle monture piaf d impatience de nouveaux horizons, et elle n'est pas la seule !

 

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Covid oblige, cette année c'est une variante d'une destination que nous avons déjà parcouru qui nous ouvre ses pistes.

La transpyrénéenne,  les Asturies, la Galice, et le portugal.

Si fin septembre le Maroc ouvre ses frontières, nous prolongerons vers cette destination.

Grâce à Wikiloc les traces des pistes sont enregistrées, ils nous restent à les découvrir.

Départ le 29 Aout. 

Gilles et Béné qui ont eux aussi changés de monture, nous rejoignent tout début septembre.

la suite au prochain épisode.

 

 

 

 

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6 septembre 2020

Suite Espagne

 

La première visite de notre périple, le Château Cathare de Peyrepertuse

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B0 3 Chateau de Peyrepertuse

 

 

Village de Cucugnan

 

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Visite des caves Terra Vinéa à Portel les Corbières

800 m de galeries, dans une ancienne mine Gypse, se visite à pied.

 

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Réserve Africaine de Sigean, 300 Hectares pour les animaux.

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Bivouac du 2 septembre, Gilles et Béné nous rejoignent en fin de

journée.

 

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Direction l’Espagne par les pistes.

 

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1er étape, l’Abbaye St Georges.

 

Nous déjeunons au Corral, pt restaurant agréable , avec une très bonne

 

et abondante cuisine.

 

 

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Visite de la chapelle de l’Abbaye, le repas était vraiment trop copieux et

trop arrosé.

 

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Nous nous reposons qqs minutes

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Le 4 septembre, bivouac sur un terrain d’entraînement militaire.

 

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Visite du Volcan Del Croscat, dans le parc naturel de la zone volcanique

de Garrotxa

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J’ai tordu l’échelle de montée de la cellule.

Quelques coups de marteau pour une réparation provisoire, nous

permettent de poursuivre.

 

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Ville de Camprodon, toute la population est masquée,

 

 

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B1H ville de Cambrodon Espagne

 

 

Le temps se couvre ce dimanche, les pistes restent accessibles.

 

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Bivouac au même endroit, que lors de notre précédente boucle en juin

 

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La suite au prochain épisode.

 

 

 

 

 

 

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15 septembre 2020

Transpyrénéenne 2

 

L’ordre chronologique n’est pas respecté, mais les photos qui suivent donnent

une idée des paysages magnifiques que nous traversons.

 

Régalez-vous avec les paysages, comme nous avec les pistes. 

 Tous nos bivouacs sont des coins de rêve.

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je dégage, les branches pour élargir la piste.

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 Ravitaillement en eau.

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Désolé pour le peu de texte, que dire devant tant de merveilles !

Les journées passent très vite, et je n’ai pas d inspiration…

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Clairette et Béné ouvrent les barrières.

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Un de nos superbes bivouacs.

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La suite au prochain épisode.

 

 

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18 septembre 2020

Province de Navarre.

 

Paysages d’Aragon

 

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La falaise phallique en arrière plan mesure 300 m de Hauteur. Cet ensemble rocheux abrite

 

la 2ème plus grande réserve naturelle de vautours d’Europe.

 

 

 

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Vue du village de Rasal, au pied du massif de la réserve.

 

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Cette mousse abondante qui recouvre par endroit les flancs de la montagne, a une apparence

 

très douce, mais c’est une multitude de pics acérés qui dissuade de toutes caresses.

 

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Le montagne semble avoir pris les couleurs d’automne, la réalité est tout autre.

 

La pyrale du buis ce papillon ravageur est responsable de la mort de millions de buis

qui couvrent les pentes.

 

 

 

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A l’entrée du village de Farasdues deux gendarmes contrôlent les entrées et sorties…

 

Nous ne sommes pas contrôlés.

 

Nous visitons à pieds le village, en avançant les portes se ferment, les habitants

 

semblent rentrer chez eux à notre approche.

 

Gilles, déclare à juste raison, que l’on se croirait dans un western.

 

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Au village suivant où nous mangeons sur la place de l’église.

Un commerçant nous informe que le précédent village (Farasdues) est confiné,

tout s’explique.

 

 

Le repas sur la place, où nous ne dérangerons personnes, la place restera vide.

 

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Trace de la ville Romaine, de Los Banales, Aqueduc, Thermes, Route.

Que restera t’il de la nôtre dans 150 ans ?

 

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Province de Navarre.

 Aujourd’hui vendredi 18 septembre, balade dans le désert de Bardenas.

Des paysages superbes, dommage le soleil est absent.

Gilles et Béné sur les deux photos qui suivent, luttent contre un vent très puissant.

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Le désert.

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Demain, nous filons sur le Portugal pour continuer plus au sud.

Ici, la météo se gâte dans les prochain jours.

 

 

La suite au prochain épisode.

 

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1 octobre 2020

Portugal Septembre 2020


Bivouac d’un soir .

Les premières pistes du Portugal que nous prenons sont étroites

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Il est nécessaire par endroit d’enlever les branches tombées.
Leur véhicule étant neuf, et à son premier voyage.


Gilles et Béné sont particulièrement attentifs aux rayures.
Ils coupent , ébranchent, élaguent, s’appliquant
comme des jardiniers soucieux du résultat.


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Mardi 22 septembre
journée à Lisbonne chez Toyota.
visite aux trois concessions, la dernière accepte de réparer nos véhicules sous garantie.
L’Hilux de Gilles et Béné retrouve une fixation d’amortisseur manquante.
Le nôtre retrouve le silence, l’alarme sonore qui nous vrillait les oreilles depuis 2 jours, est enfin silencieuse.

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Ailleurs les oliviers peuvent être millénaire.  
Ici, avec un arrosage adapté la culture est intensive, 20 années de production assurée avec de gros rendement.

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Forêts d’Eucalyptus

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Belle forteresse de la ville de Marvao.

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Une des nombreuses carrières de marbre, de Vila-Viçosa.

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Ville fortifiée de Vila-Vicosa. 28 09 2020

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L’arbre qui marche, curiosité de la nature.  

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Scène de la vie courante

 

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La suite au prochain épisode

22 juin 2011

Albanie Suite

Mercredi 22 juin 2011

bivouac dans un petit village au bord de la mer, SHENJIN (merci yves pour ton waypoint) dans une pinède où vit une famille dans son camion,  les parents tiennent une paillotte. Nous avons mangé un plat de poissons au coucher du soleil...

Tout le long de la route, les petits bunkers accompagnent le paysage....

D° TIRANA, la grande ville, pour faire une vidange moteur du sprinter, et ensuite la visite de la capitale.

nous avons bcoup aimé cette ville, où l'ancien et le moderne se mélange....belle mosquée parachevée en 1821, de très belles peintures intérieures, et la personne qui ns accueille est particulièrement chalheureuse.

La visite du marché central (où ns achetons un poulet fermier...délicieux), la promenade dans les ruelles, ns ont donné soif, et dans un café populaire, ns buvons une bière fraîche à 0.35 cts €. Nous dormons dans le parc naturel au dessus de la ville.

D° KRUJA, nous demandons notre direction à un passant, qui monte avec nous car c'est sa destination. Il nous explique qu'il vend des climatisations, et arrivée à destination, il ns offre une tomate et un poivron.

Visite de la ville, du musée dans son faux château, mais attractif et bien présenté pour clairette.

DURRES : ville balnéaire, et portuaire importante....pas grand intérêt à notre avis....en reprenant la route, bcoup de roms dans des bidonvilles, et avons renoncé à visiter plus profondémment la ville, trop de sollicitations par les enfants roms !

nous quittons la route principale, et ns engageons dans des petits chemins, largeur du sprinter, impossible de croiser.....c'est un enchantement de la campagne, où nous croisons des troupeaux d'oies, de canards, de dindons...bref toute la basse-cour. Tout ça mélangé avec les carrioles tirées soit par des ânes, ou de petits chevaux...

dans les champs, les paysans fauchent à la main, ramassent le foin à la fourche,....une ruche riche d'activités ! Le tout avec de grands sourires, et des signes amicaux.

Bivouac à DAMEH, une petite crique paumée.... , une famille s'installe pour la nuit avec ses enfants, et le papa pêche jusqu'à tard dans la nuit. La maman, fait cuire des brochettes sur un feu de bois sur la plage...Ce sera de bons souvenirs pour leurs enfants. Tout ça dans un calme absolu, et une vue sur la mer splendide !

19 Juin : D° APPOLLONIA ...Voies rapides en très bon état...Avant d'arrivée à la ville, nous visitons le monastère d'ARDENICA (Kolonje).  Reçu par un diacre, toujours avec cet accueil très chalheureux des albanais, qui nous fait la visite guidée du monastère. Icônes splendides, nous avons passé un très bon moment.

Nous reprenons la route, après avoir donné qq lek à une petite mamie, habillée toute noir, qui ns a gardé le sprinter pendant notre visite. Elle m'explique que ses enfants vivent en grèce. Je lui montre les photos sur le calendrier familial, et caresse avec sa main, la photo de nos petits enfants, et me parle dans sa langue, je suis sûre de gentils mots !

Arrivée sur Appolonia (site archéologique, sur 80 ha) : après le petit déjeune, à 7 h 30, nous partons visiter le site complètement, ns sommes seuls au monde...Rien d'extraordinaire, les bunkers sont mélangés aux vestiges.

Le site est situé sur 2 collines, et domine la plaine de 100 m d'altitude. randonnée sympathique...Pas vu, le gardien, visite gratuite !

départ pour Bérat, par les petits chemins, qui nous secouent toujours autant, qui de tps en tps ns vident un placard..... mais tellement attractif par le paysage et les rencontres que l'on y fait.

nous nous arrêtons pour acheter des tomates , chez un producteur. Il me laisse choisir 7 tomates (coeurs de boeuf) et au moment de payer, refuse, cadeau...

Arrivée BERAT : petit ville très agréable, aux 1000 fenêtres....de l'époque Illyrienne, romaine, bysantine et ottomanes. Dans la citadelle que ns visitons, les maisons sont encore habitées. La Forteresse érigée à la fin du 4ème siècle, reconstruite et élargie, les murs achevés en 1440. Sur les 32 églises, en restent 7. Ruines des 2 mosquées rouge et blanche...

après le bivouac, sous la citadelle, réveillés par les tourterelles, nous partons vers ELBASAN.

ELBASAN : ville qui ns a bcoup plu.....dans la citadelle, un monsieur ns interpelle pour ns montrer dans son garage, la distillation du raki pour sa consommation personnelle. N'en vend pas, mais ns explique comment il procède et ns fait goûter à ce délicieux breuvage, fort pour claire ....Pour 200 l de mou de raisin, il récupère 30 litres d'alcool à 20°.

en continuant notre promenade dans la citadelle, une vieille dame me parle   "...?" no comprendo, en rigolant, me serre les mains gentiment...

nous voulons visiter une église orthodoxe, mais elle est fermée. Gentiment, une dame sort de sa maison et vient ns ouvrir en nous laissant tranquillement visiter. De très belles fresques, restaurées de couleurs très vives, ornent tous les murs. Quelques vitraux, et des icônes.

Il fait très très chaud, et pour me rafraichir, je trempe mon foulard noir, et me le met sur la tête. Une dame de mon âge, m'interpelle, visiblement en m'engueulant et me fait comprendre qu'il ne faut pas porter le foulard. Elle m'a prise pour une musulmane. Je lui fait comprendre que j'ai mis mon foulard mouillé à cause du soleil et lui montre ma croix en pendentif.....Elle se calme, et me dit en anglais " que dieu me protège"..ouf...j'ai failli être lapidée en paroles ! Jean-louis en rigole encore...

repas d'un petit restaurant, où à l'addition le serveur discute pendant une bonne demi-heure avec nous...

en rejoignant notre sprinter, une jeune coiffeuse veut faire une photo, et veut me couper les cheveux...on rigole...je garde mes cheveux.

à bientôt,  pour le  prochain épisode...

 

 

 

 

 

14 juin 2011

Coucou, nous sommes toujours au Monténégro...les

Coucou,

nous sommes toujours au Monténégro...les paysages sont toujours aussi beau et sauvage !

de 1500 mètres d'altitude nous passons à 90 mètres, 23°, pour arriver à la Capitale : PODGORICA. Grande ville, comme toutes les grandes villes, immeubles, quartier populaire, quartier aisé...nous dormirons dans la banlieue, sur petit parking parmi des maisons, au calme...Demain matin, visite d'un monastère.

Le monastère SILIJA PIPERSKA, est situé à 500 m alt. dans la montagne, à 20 km de la capitale.

 Jean-louis, nous dirige avec son GPS lecteur de carte, notre GPS Tom Tom est complètement dans les choux, ne trouvent aucune route depuis la Slovénie...Bravo, jlouis !

arrivé à une pancarte, ns indiquant la direction du monastère à 2500 mètres, ns empruntons une petite route où pleins de petites tortues traversent ! Que font-elles là ?? C'est trop rigolo...et surtout, éviter de les écraser, avoir la patience et la lenteur d'une tortue pour attendre qu'elles traversent.

Jolie Monastère Othodoxe tout en pierre, une jeune "moinesse" ? nous accueille et ns convie à rentrer à l'intérieur. Une très jolie cour fermée entouré de portes qui donnent sur plein de pièces. Le tout en pierre de taille couleur grise. Une jolie chapelle contient des icônes et dans un cercueil de verre, un habit d'apparât croule sous les broderies en fil d'or... T. Beau.

la jeune moinesse nous a convié à l'extérieur du monastère, et nous a offert  des loukoums avec un verre d'eau fraîche, à déguster sous une forme de tipie. Un tipie fait de tronc d'arbres, arrondi, et certainement construit par des artisans type compagnon de france de chez nous. Quelques icônes pieuses en décor.

Elle nous a dit au revoir, en nous donnant, à chacun, une image pieuse, et nous laissant tranquillement manger la quantité de loukoums que ns voulions.....

Contact établi par la langue des Mains.....elle ne parlait que sa langue...ce qui est la majorité, sauf dans les villes, où c'est l'anglais.

nous continuons vers le parc de LOVCEN....pour atteindre le mont LOVCEN, nous devrons nous acquitter d'un péage à 2 € pr personne pour pouvoir aller ds le parc. ....c'est vrai que c'est superbe, mais vu ce que ns venons de traverser depuis notre départ de la slovanie, heureusement que ns n'avons pas payé à chaque beauté du paysage, nous aurions mangé notre budget !

petite parking...heureusement, pas trop de monde, pour se garer et hop, nous partons à l'ascension du mont LOVCEN : 461 marches...rien pour les hauts-savoyards que ns sommes (peut-être un peu essouflés, qd même...hi..hi)

arrivés en haut, si ns voulons visiter un petit musée 3 €....heureusement, l'air que ns respirons autour est gratuit !

Repartons pour la ville de KOTOR...comme d'habitude, petite route d'une voiture et demi, mais jean-louis maitrise...et moi...je serre les dents avec une petite peur...quand même, le vide et de mon coté.  La vue est une vision d'avion, magnifique.

Arrêt Dodo à KOTOR, ns avons la chance de trouver un petit parking calme, face à la mer... 

mardi 14 juin 2011 : nous repartons en direction de l'albanie.

à bientôt, pour un nouvel épisode... 

 

 

2 juillet 2011

le retour se fait gentiment, et ns revoyions avec

le retour se fait gentiment, et ns revoyions avec plaisr la Croatie, nous visitons le village de STON et sa grande muraille de 5.5 kms, la plus longue fortification d'Europe.Ce qui lui vaut le surnom de "muraille de chine dalmate".

la ville de SPLIT que nous avions trouvé, à l'aller, pas très jolie avec ses immeubles. Ce qui est le cas, mais il faut pousser plus loin et visiter la vieille ville, qui vaut le détour. Plus authentique que la citadelle de Dubrovnik qui est trop touristique à notre goût, et ressemble à un musée ouvert....

SIBENIK :difficile à se garer, petites rues étroites et une belle cathédrale gothico-renaissance inscrite au patrimoine de l'unesco. Construite en 3 étapes : à partir de 1431,...1441....1505. Un superbe portail avec 2 colonnes supportées par 2 lions. Ces derniers supportent eux-mêmes les personnages de "Adam et Eve". Au chevet de l'église, 71 têtes sculptées + 3 têtes de lyon.

Sur la route de UBINA, nous faisons une photo d'un petit char de guerre (des panneaux partout "interdit de photographier"....oups !) et achetons à une dame, une petite tomme...hum...enfin du bon fromage de montagne...la dame en partant m'envoie un baiser, j'en fais autant ! (marrant..)

tout le long de la route montagneuse, le paysage est toujours aussi beau...dans les champs, des hommes remplissent des charrettes de foin, à la fourche. ça sent bon....notre enfance !

Nous arrivons aux Lacs de PLITVICE. Dès 7 h 30 du matin, et avec nos sacs à dos, nous commençons notre promenade. Dans une nature préservée et aménagée intelligement, les lacs d'une limpidité incroyable, remplis de poissons....des cascades à n'en plus finir, nous marchons pendant plus de 4 h 45 dans un décor de rêve !

encore quelques maisons mitraillées....comme c'est difficile de penser que la guerre peut s'installer dans un pays aux paysages si beaux...

notre dernier bivouac à BREZOVICA, petit village....nous dormons près du cimetière avec une jolie  petite église....dans le champ à coté, des chevaux galopent, beau cadeau pour notre dernière soirée en croatie.

L'ITALIE : on traverse la venessie-lombardie...industrielle, pas terrible ce secteur...par contre la région Piémontaise, la campagne avec ses rizières à perte de vue, est attrayante.

Un hélicoptère survole les rizières, pour les traiter. Nous admirons la dextérité du pilote qui passe entre les lignes éléctriques, et qq maisons.

Nous prenons l'autoroute, et à l'entrée et à la sortie d'un long tunnel, ns allons vivre un petit évènement dont ns ne saurons jamais la fin.

Nous assistons à la mise en place de dizaines de policiers, protégés par des gilets pare-balles, qui ne sont vus que de notre sens, et planqués pour arrêter qui, quoi ? Une vraie souricière ! Impressionnant !

Le retour en France : MODANE (savoie)....que c'est beau aussi notre France...

Nous nous arrêtons au dessus de la ville, et prenons une photo d'un "bunker" à coté d'une forteresse qui domine la ville....Nous aussi, ns avons encore des restes ...il n'y pas que l'Albanie !

Retour à Lyon, chez notre garagiste, qui nous annonce, contrairement aux informations communiquées par mail, qu'il n'a pas encore reçu  le logiciel adéquat, permettant la réparation du calculateur moteur....ah, la rage....

 à bientôt au prochain épisode....

 

 

12 juin 2011

BOSNIE HERZOGOVINE

Suite de notre passage en Croatie par la visite de Dubrovnik,trés belle forteresse, mais trop touristique à notre goût.

Nous avons enfin trouvé un point d'accès internet pour la suite.

Que vous dire de nos impressions sur la Bosnie...

Arrivée à Mostar, nous avons eu beaucoup de mal à sortir du camion, tellement l'ambiance est lourde.

Le pays est très marqué par les stigmates de la guerre, qui c'est terminée en 1998. Beaucoup de maisons d'usines, d'immeubles sont détruits, criblés de balles, ou brulés.

aprés qqs minutes pour quitter notre refuge, nous avons quand même visité la ville, notamment le célébre pont, qui a été reconstruit avec le concours de l'unesco .

direction la ville de SARAJEVO : la ville n'est pas très belle en soi, certains quartiers ont été ravagés par les combats. Des immeubles, qui sont encore habités, sont criblés de balles et percés des roquettes. Ces trous sont colmatés avec du contre-plaqué ! c'est très impressionnant...au point que ns avons eu dû mal à prendre des photos.

par contre, la montagne et la campagne sont magnifiques. Et, malrgé ces coins isolés, les traces de la guerre sont présentes.

Nous n'avons pas trouvé les bosniaques très accueillants, en voyant  les secteurs où ns sommes passés, ça peut se comprendre.

un point positif : le gasoil à 1.15 €

Nous avons passé la frontière hier-soir, du monténégro avec beaucoup de soulagement, une toute autre ambiance, les monténégrins sont souriants et accueillants.

la monnaie est l"euro, et hier-soir, ns avons mangé une spécialité du coin : de la chèvre dans un petit resto, ds un hameau à TRSA, à 1500 m d'altitude - 15°, complètement isolé, type haute-savoie du 19ème siècle, super bien dormi. Ns avons adoré !

Nous sommes dans le parc naturel du DURMITOR. C'est grandiose.

Les routes sont petites, et les croisements des qq voitures périlleuses.....

ns sommes obligés d'envoyer les photos à part, car la connexion se plante, ns avons dû recommencer le texte...

à bientôt pour le prochain épisode...

 

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